Les rêves des palestiniens
Ceux ne sont pas seulement les rêves des palestiniens, ceux sont les rêves et les droits de tout être humain.
Libellés : droit de l'homme, palestine, rêve
"seuls ceux qui croient en leurs rêves peuvent les réaliser" (hergé).
Ceux ne sont pas seulement les rêves des palestiniens, ceux sont les rêves et les droits de tout être humain.
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En 1974, l'Assemblée générale des Nations unies avait invité l'Organisation de Libération de la Palestine (OLP) à participer à ses travaux avec le statut d'observateur. En novembre de la même année, l'Assemblée avait réaffirmé les droits inaliénables du peuple palestinien à l'indépendance nationale et au droit au retour. Ces droits ont depuis été réaffirmés chaque année.
Le 10 novembre 1975, l'Assemblée adoptait, par 72 voix contre 35 et 32 abstentions, une résolution énonçant que "le sionisme est une forme de racisme et de discrimination raciale".
En octobre 1991, les négociations de paix israélo-palestiniennes reprirent lors d'une conférence historique à Madrid. Deux mois plus tard, le 16 décembre 1991, l'Assemblée révoquait d'une phrase le texte de 1975 - texte que Kofi Annan, secrétaire général de l'organisation, a un jour qualifié de manifestation "lamentable" d'antisémitisme.
Libellés : Israel, Nations Unies, palestine, Racisme, sionisme
Libellés : Israel, Jimmy Carter, juifs, paix, palestine
Libellés : hamas, Israel, occupation, palestine, terrorisme
PRIONS POUR JERUSALEM !
"Jérusalem : la ville de la paix au coeur de la guerre"
Qu'elles soient militaires ou diplomatiques, les batailles pour la cité trois fois sainte se succèdent depuis près de trois mille ans.
Par Baudouin Eschapasse
Son nom, Ourousalim en akkadien, Yerushalayim en hébreu, Ur Salam en arabe signifie « ville de la paix ». Triste paradoxe... Jérusalem est depuis trois mille ans l'objet d'une succession de sanglants conflits. Universellement convoitée, cette ville a été tour à tour attaquée par les pharaons, les empereurs babyloniens, les armées grecques, perses, romaines, byzantines, puis arabes et croisées. Elle est aujourd'hui au centre du conflit qui oppose les Israéliens et les Palestiniens.
Au terme du plan de partage adopté le 29 novembre 1947 par les Nations unies (lire page 44), la cité ne devait pourtant faire l'objet d'aucun enjeu territorial, l'ONU ayant décidé de la placer sous son administration, en vertu de la résolution 181 qui établit un corpus separatum. Un statut exceptionnel justifié par la forte symbolique de cette métropole pour les trois religions du Livre. Elle est en effet à la fois le siège du grand Temple pour les juifs, le lieu du supplice de Jésus pour les chrétiens et l'objet d'un songe de Mohammed pour les musulmans. Bien qu'acceptée par les Israéliens, cette disposition est immédiatement rejetée par la Ligue arabe. Dès le 29 mai 1948, des unités égyptiennes, transjordaniennes, syriennes, libanaises et irakiennes pénètrent dans la ville. Huit siècles après la fin des croisades, soldées par la victoire des armées de Saladin, « la ville de la paix » sombre à nouveau dans le chaos. Des combats acharnés ensanglantent, tout l'été, les ruelles de la Vieille ville. Principalement le quartier juif dont les troupes arabes entendent expulser les habitants. La bataille de Jérusalem durera près de dix mois.
Lorsque le 7 janvier 1949, l'ONU obtient enfin le cessez-le-feu, la ville se retrouve divisée entre une partie occidentale contrôlée par l'armée israélienne et une partie orientale (y compris toute la Vieille ville où se trouvent de nombreux lieux saints juifs) contrôlée par les troupes transjordaniennes. Ces deux zones, dans un premier temps, sont séparées par un no man's land puis par un mur.
Le 24 janvier 1949, le roi hachémite Abdallah Ier annexe la Cisjordanie ainsi que la Vieille ville de Jérusalem. David Ben Gourion, premier président d'Israël, réplique le 14 décembre sur le terrain politique en décrétant Jérusalem « capitale éternelle d'Israël ». Une déclaration concrétisée à l'issue des opérations militaires menées en juin 1967. Au cours de la guerre des Six Jours, l'Etat hébreu reprend en effet le contrôle d'une grande partie de Jérusalem-est. Et en 1980, l'Assemblée nationale israélienne, la Knesset, ratifie cette décision par une loi fondamentale. Mais cette annexion est rejetée par l'ensemble de la communauté arabe - et internationale, dans sa majorité, pour laquelle la capitale reste Tel-Aviv, où se trouvent la plupart des représentations diplomatiques - mais que les Israéliens justifient en soulignant que cette zone couvre l'ensemble des anciens quartiers juifs de Jérusalem. Ce qui n'empêche pas les Palestiniens de continuer de revendiquer cette cité qu'ils nomment Al Qods, la Sainte, comme leur capitale, notamment depuis le dixième anniversaire de la Conférence islamique de juin 1975. La symbolique cité de Jérusalem redeviendra-t-elle jamais la « ville de la paix » ?
liens
http://www.historia.fr/data/mag/719/71906001.html
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Il est une voix sans crainte, impressionante et totalement indépendante : Noam Chomsky.
Présentation et interview de Noam Chomsky qui aborde des sujets tels que la manipulation de l'opinion publique, le 11 septembre, l'intervention US dans les affaires étrangeres.
S'il y en avait plusieurs qui auraient son courage.
19/12/2006
C'est un extrait de la célèbre série télévisée d'animation française "Il était une fois... l'Homme" (1978).
Cette série est passée sur de nombreuses chaînes de télévision dans le monde entier.
Cet extrait se termine par "Charles Martel vient de sauver l'Europe de l'Islam".
Cette serie est destinée aux enfants.
Lettre à l'Amérique
Nous Arabes du Moyen-Orient
Documentaire de Rana Kabbani - BBC / Arte - 2002 - 42 mn
"Pourquoi nous détestent-ils ?", se demandait le président George W. Bush quelques jours après les attentats du 11 septembre 2001. Et de répondre : "Ils nous détestent à cause de nos libertés, liberté de voter, de s'exprimer, liberté de religion..." Pour la plupart des Occidentaux, les États-Unis symbolisent la démocratie et la liberté. Rana Kabbani, journaliste d'origine syrienne, nous montre qu'au Moyen-Orient, ils symbolisent plutôt l'exploitation économique et la répression brutale. En Égypte, en Irak, aux Émirats Arabes ou encore en Iran, la rencontre d'intellectuels oeuvrant dans différents milieux montre combien la colère à l'égard des États-Unis est généralisée. Leurs propos sont en phase avec l'opinion publique arabe, qui a conscience d'être sous occupation américaine. Le conflit en Iran, la guerre du Golfe, le soutien inconditionnel des États-Unis envers Israël et, dernièrement, la guerre en Afghanistan, n'ont fait que renforcer le sentiment antiaméricain. Pour preuve, lors de manifestations au Moyen-Orient, la bannière étoilée est souvent brûlée sur la place publique...
Les puissances impériales et colonialistes ont toujours expliqué la violence que généraient, chez les peuples opprimés, leur oppression, hégémonie et occupation par des raisons endogènes à ces peuples. Ainsi, hier, les peaux-rouges étaient des barabres, scalpeurs de têtes, les asiatiques des cruels assoifés de sang, les africains des sauvages cannibales, aujourd'hui la mode est aux musulmans fanatiques et intégristes.
Rana Kabbani, sur les traces de Edward Said, donne justement la parole aux arabes et aux musulmans pour montrer aux Etats-unis des raisons bien plus rationelles et moins fantasmagoriques de la haine que ces peuples portent envers l'Empire.
Ce documentaire s'est déroulé en 2002... et là, fin de l'année 2006, est ce que quelque chose a changé ?
Indiens d'Amérique du Nord
Documentaire Arte - Le Dessous des Cartes - 2004 - 10 mn
Un génocide passé sous silence et qui aujourd'hui devient un sujet politiquement incorrect au moment même où les sociétés occidentales sont de plus en plus consciente du devoir de mémoire pour d'autres évènements tragiques.
L'Histoire des Indiens d'Amérique du Nord, niés, déplacés, massacrés puis utilisés pour des raisons de propagande et de caricature par ceux qui devinrent plus tard les Etats-Uniens.
Au delà de la vie quotidienne de ces Indiens qui sera boulversée par les colons arrivant d'Europe, ce Dessous des Cartes, exellent comme d'habitude, permet de comprendre la particularité du mode de vie des Indiens, très en harmonie avec la nature et sorte de "pionniers de l'écologie".
Depuis l’accord de coopération UK/USA conclu en 1946 pendant la guerre froide jusqu’au déploiement actuel du réseau «Échelon», ce film, très bien documenté, se penche sur le développement tentaculaire des réseaux internationaux d’interception et d’écoute des télécommunications transmises par satellite.
De l’anti-terrorisme à la surveillance de ses propres citoyens, de l’espionnage militaire à l’espionnage économique de toutes les plus grosses entreprises mondiales, le système Échelon sert beaucoup plus qu’on ne veut bien le croire, ou le dire. Ses nouvelles activités, en grande partie illégales, représentent un atout majeur pour la puissance commerciale, militaire et technologique des États-Unis.
Construit comme une véritable fiction, le film dénonce les moyens économiques démesurés alignés par cette véritable multinationale de renseignements dans l’interception et dans le traitement de l’information.
Les révélations édifiantes de journalistes d’investigation et de cadres supérieurs d’agences de renseignements nous entraînent au cœur d’une incroyable et captivante enquête journalistique.
L'histoire et le combat de Mordachai Vanunu.
Documentaire - BBC - 45 mn
Quel pays au moyen-orient détient-il des armes de destruction massive ?
Quel pays au moyen-orient refuse à l'ONU et ses agences le controle de ses installations nucleaires ?
Quel pays au moyen-orient a des capacités de production d'armes chimiques et bactériologiques ?
Quel pays au moyen-orient a emprisonné plus de 18 ans un de ses techniciens nucleaires qui denoncait son arsenal atomique effrayant, menace apocalyptique pour toute la région ?
OUI c'est Israel !!
Alain soral, écrivain français, est convié à la 59ème journée Dédicaces organisée notamment par la direction de scienceso-po. La veille on le désinvite, sous prétexte de problèmes de... sécurité non assurée. (Ca me rappelle Dieudo et son épisode à l'Olympia)
Je veux bien accepter que celui qui invite est aussi libre d'inviter qui il veut que de revenir sur une invitation... Ceci dit, ce n'est pas exactement ce qui s'est passé ici dans la mesure ou celui qui désinvite n'est pas, si je comprend bien, celui qui a invité. On a clairement blacklisté un écrivain du fait de ses idées, ou de celles qu'on lui prête, et de son récent positionnement politique (qu'on ne comprend pas tous, moi le premier), et certainement pas pour des problêmes de sécurité, nous ne sommes pas dupes.
Je venais justement à cette journée dédicaces parceque j'avais quelques questions à poser à A. Soral sur son positionnement politique. Je suis arrivé à 14:00, soit 3 bons quart d'heure avant A. Soral. J'ai voulu savoir pourquoi il ne figurait pas sur la liste du petit tract distribué dans le hall principal. Les hôtesses n'en savaient pas plus que moi et me suggèrerent de poser la question à l'administration de la journée dédicaces. J'ai ensuite fait un tour mais n'ai croisé A. Soral nulle part. Dans un couloir, je marche derrière deux jeunes assistants (eh bien assistez ! LOL), et j'entends l'un dire :
" J'attends J.F. Kahn qui n'est toujours pas là. Parcequ'au départ je m'occupais d'A. Soral mais il ne viendra pas."
Je saute sur l'occasion pour tenter d'en savoir plus et lui demande pourquoi : il ne sera pas là, c'est tout ce qu'il a pu me dire. Déçu, je redescend. Et près de l'entrée principale, je tombe sur un jeune en costume qui fesait le pied de grue. Je lui demande où se trouve l'administration. Il me demande pourquoi. Je lui explique que j'aimerais comprendre ce qui a fait que je me suis déplacé pour rien, pourquoi A. Soral n'est pas là. Il m'explique alors qu'A. Soral n'a jamais été prévu sur la liste des invités (premier mensonge). Je lui dit que sa présence est annoncée sur plusieurs sites Web dont le sien, puis il m'explique que c'est A. Soral qui a voulu s'incruster (deuxième mensonge) en appelant les administrateurs de la journée pour pouvoir venir, en faisant du forcing, d'où l'annonce sur le site Web. Je fais un tour, puis l'histoire du jeune dans le couloir me reviens. Je retourne voir le pied de grue : "Je vais avoir l'air insistant mais j'ai entendu deux jeunes discuter..." et là, un de ses collègues en costume également viens vers moi et me dit :
"C'est pour A. Soral ? Il était programmé mais il ne l'est plus invité maintenant." Je lui demande pourquoi, il me répond qu'il ne sait pas. Je lui dis:
"Ecoutez je suis venu rencontrer A. Soral. D'abord on me dit qu'il n'était pas prévu mais qu'il a tenté de s'incruster, puis vous me dites qu'en fait il l'était. Je veux juste qu'on arrête de me mentir. Vous ne savez pas ou vous ne pouvez pas me dire pourquoi il n'est plus invité ?"
"Non, non, je ne sais pas, demandez au responsables de la journée."
Je lui dis : " De toutes façons, il n'est pas là hein. Ca n'y changerait rien"
J'étais tout près de m'en aller. Avant, je fais un dernier tour de piste histoire de voir en vrai les têtes que je vois habituellement à la télé. En redescendant, j'entends que ça s'explique dans le petit hall... Et qui j'aperçois ? A. Soral !! Je m'approche, et comme j'avais amené mon camescope DV, je le sors, ouvertement, sans m'en cacher et je filme (sauf une fois la police sur place, je me suis fait plus discret après que mon voisin (je me répète) ait été prié par la police d'arrêter de filmer avec son téléphone).
Désolé pour ceux qui fantasmaient sur un coup monté, je n'avais jamais rencontré A. Soral avant cela. A un moment, je tends même mon livre à A. Soral, qui me dit (à 00:01:52):" Voilà, merci monsieur je vais signer" et me demande mon prénom (séquence coupée), "preuve*" qu'on ne se connait pas (*Quoique, on dira encore que c'est une mise en scène...). Pourquoi aurais-je amené mon bouquin pour me le faire dédicacer si j'étais un proche de ce monsieur ? La suite vous la connaissez.
Après qu'A. Soral et ses quelques amis, 4 tout au plus et non 15, aient quitté le devant de l'établissement, je décide de les suivre. Une rue plus loin, je les rejoins. Et A. Soral de me dire :
"T'as vu ces enfoirés ?"
Je lui dis : " Non seulement j'ai vu, mais en plus c'est dans la boite. D'ailleurs si vous voulez les images..."
Il me demande si j'ai tout filmé, je lui réponds que oui. Ensuite on s'est proposé de se recontacter par mail et voilà. Je ne vois pas pourquoi j'aurais refusé après quon m'ait menti, personnellement j'ai trouvé cela scandaleux au total. Je suis un simple lecteur d'Alain Soral que j'apprécie en tant qu'écrivain. Son engagement politique n'altère en rien son oeuvre, à la limite ne regarde que lui. Avant de se quitter, Alain Soral :
"Bon on va boire un coup ?" et moi "Désolé mais on m'attend, merci quand même". A.S. : "Merci à toi d'être venu me voir"
J'étais à mille lieues d'imaginer que cela se terminerait comme ça. Je ne pensais pas que j'utiliserais mon camescope tant que ça. Je pensais repartir avec quelques séquences, les quelques réponses à mes 2-3 questions. J'aurais preferé que cela se passe tranquilement plutôt que de le voir s'insurger.
liens
http://www.alainsoral.com
Non seulement Ségolène Royal a ignoré le traité international signé par la France pour paraître plus protectrice d'Israël que nombre de sionistes français tentés par la candidature Sarkozy, mais elle a " oublié " au passage la part importante que l'IRAN a prise dans le financement de la première usine française d'enrichissement de l'Uranium sans laquelle la France n'aurait pas pu fabriquer ses premières bombes A-H à l'époque.
Israël: la Haute cour refuse d'interdire les assassinats ciblés et donc la tuerie de victimes entourant le plus souvent la personne visée.
JERUSALEM (Reuters) - La Haute cour de justice israélienne a débouté des mouvements de défense des droits civiques demandant une interdiction totale des "assassinats ciblés" d'activistes palestiniens par l'armée israélienne, estimant qu'ils pouvaient être justifiés par les lois de la guerre.
En recourant à des frappes aériennes ou à des commandos, Israël a repéré et tué de nombreux activistes depuis le début, il y a six ans, de la seconde intifada palestinienne. Cette pratique est critiquée par de nombreux pays et Israël a été accusé de mener une campagne illégale d'assassinats.
L'Etat juif a suspendu partiellement ce type d'opérations depuis l'entrée en vigueur, le mois dernier, d'une trêve dans la bande de Gaza. Mais, selon des responsables de la défense, ils demeurent le meilleur moyen, en dernier ressort, d'empêcher des activistes difficiles à appréhender et à traduire en justice de perpétrer des attentats.
Rejetant des plaintes déposées en 2002 par un groupe de défense des droits des Palestiniens et une autre organisation, la Haute cour a estimé que l'argumentaire de l'Etat pouvait être légalement justifié dans certains cas.
INDIGNATION PALESTINIENNE
"Les arrestations, les enquêtes et les procès sont des moyens qui ne peuvent pas toujours être mis en oeuvre. Parfois, c'est impossible; parfois, cela comporte un tel risque pour la vie des soldats (israéliens) que ce n'est pas approprié", ont déclaré les trois juges de la Haute cour.
"Nous estimons donc qu'on ne peut déterminer à l'avance que chaque assassinat ciblé est interdit au regard du droit coutumier international et qu'on ne peut déterminer à l'avance que tout assassinat ciblé est permissible au regard du droit coutumier international."
Les Palestiniens, d'autant plus hostiles aux campagnes de répression israéliennes dans la bande de Gaza et en Cisjordanie occupée qu'elles touchent souvent des innocents, ont dénoncé ce jugement.
"L'assassinat est une forme de crime qui ne peut être justifiée. C'est indigne d'un Etat", a déclaré Saëb Erekat, conseiller auprès du président palestinien Mahmoud Abbas.
Interrogé par Radio Israël, Shai Nitzan, conseiller juridique du gouvernement israélien, a formulé l'espoir que ce jugement de la Haute cour contribue au rejet des plaintes pour crimes de guerre déposées devant des tribunaux étrangers.