Jugement en appel des éditions Al Qalam, poursuivies par la LICRA pour avoir publié L’autre visage d’Israël, par Israel Adam Shamir
L’éditeur est condamné à une amende de 7. 500 euros pour « incitation à la haine et à la discrimination » et à verser 8 000 euros de dommages et intérêts à la LICRA
Néanmoins, il n’est plus poursuivi à titre d’auteur ; et il est autorisé à continuer à vendre le livre incriminé ; dans celui-ci, seuls 6 passages ont été estimés contraires à la loi, au lieu de la vingtaine qui avaient été reconnus tels dans le jugement en première instance.
Le président du tribunal, visiblement conscient de l'absurdité de la situation, a lui-même suggéré à M Cherifi de se pourvoir en cassation. On a presque eu droit à des excuses…
Israël Adam Shamir vient de sortir un nouveau livre en français : "Notre Dame des Douleurs" (458 p. + Index des noms propres), qu'on peut commander à l'association Entre la Plume et l'Enclume, pour 20 euros (+ 5 euros frais de port).
Demain nous aurons la liste des 6 choses qu’on n’a pas encore le droit de dire, dans l’ex-pays de la liberté d’expression, de l’égalité et de la laïcité.
Pour le moment, on a le droit de dire tout le reste, comme par exemple qu’Israël est un État terroriste qui doit être traduit en justice pour sa récente invasion génocidaire du Liban et sa politique systématique de nettoyage ethnique avec extermination des Palestiniens ; c’est ce que nous disons, et nous ajoutons que les groupuscules qui exercent des pressions en France pour défendre la politique israélienne sont des groupuscules terroristes au service d’un État terroriste étranger. Et on va le marteler...
liens
http://www.voxnr.com/cc/dep_interieur/EEVZ
lpVppFJTuHBMrB.shtml
Quelques extraits du livre "L’autre visage d’Israël", utilisés dans un article qui le traite Israel Adam Shamir d'antisémite dans le texte... :
« la presse américaine, dominée par les Juifs » (p. 53)
« il semble que les Juifs (en tant que groupe distinct des non-juifs) soient unis par une volonté commune, un objectif unique et un sentiment de puissance. L’intoxication par le pouvoir et l’unité a amené ces gens cauteleux à laisser tomber le masque, à renoncer aux faux-semblants. La nouvelle ouverture nous fournit un aperçu sans précédent de l’âme des Juifs et de leurs supporters mammonites. » (p. 245)
« Aussi, après bien des années de sélection continue, les forces pro-juives ont atteint les positions de la toute puissance aux États-Unis. Par ailleurs, l’Amérique était presque vouée à devenir un État néo-juif en vertu de son idéologie. » (p. 250)
« L’autre groupe d’alliés [parmi les philosémites] est constitué par les hommes d’affaires purs et durs qui apprécient le côté pratique de l’idéologie juive. Ils aiment l’idée du Mob, la chasse à l’argent, l’indifférence à la morale et aux conséquences sociales que cela peut avoir, l’indifférence à la propriété et à la vie d’autrui. Les gens qui voient tous les autres comme des ennemis, et la vie comme une bataille perpétuelle, remarquent que dans l’idéologie juive, aucun étranger n’est considéré comme un “voisin”. Voilà pourquoi les dirigeants qui étaient les plus cruels, les princes et les rois, étaient ceux qui prenaient des juifs comme conseillers et ministres. Ils apprenaient d’eux comment ignorer leurs sujets. » (p. 252)
« Les Juifs ne sont ni un peuple, ni une religion, ni une race. Il s’agit d’une organisation quasi religieuse; quelque chose qui ressemble à une Église catholique qui serait intimement liée au Fonds Monétaire International, de même que le courrier électronique est associé au téléchargement de fichier sous Windows. On peut rencontrer toutes sortes de catholiques, mais les décisions sont prises à Rome. On peut rencontrer toutes sortes de juifs, mais les décisions sont prises à Wall Street. » (p. 252)
« Jésus sauve, mais Moïse investit. L’influence juive ne s’arrête pas là où le dollar s’arrête. Les idéaux des Américains sont façonnés par Hollywood, avec son culte du lucre et du succès. Leurs réflexions sont alimentées par les éminences juives dans les universités et les médias. Pour leur confort, ils “boivent” le New York Times* comme du petit lait. Leur histoire a rétréci et s’est réduite aux études sur l’Holocauste. [...] Il importe peu aux Américains que leur politique soit aux mains de gens qui n’ont de dévotion que pour la cause des Juifs. » (p. 254)
*Le New York Times est qualifié de « journal juif » (p. 70)
« Je me sens très bien avec moi-même, et avec la plupart des juifs que je rencontre. Séparément, nous sommes sympathiques et chaleureux. Enfin, aussi sympathiques que n’importe qui. Mais ensemble, nous constituons une machinerie sociale redoutable et repoussante, liée par un pacte infernal à la rapacité et à la cupidité. J’aime les “Juifs” tout autant que le grand américain David Thoreau aimait l’Empire américain, que Voltaire aimait son Église catholique, qu’Orwell aimait son Parti stalinien. » (p. 254-255)
« L’emprise judéo-mammonite a éliminé les forces vives de l’Amérique et les a guidées vers le dépérissement. » (p. 256)
« L’influence grandissante des Juifs s’est accompagnée de la divergence : les riches sont devenus plus riches, les pauvres plus pauvres, et les classes moyennes ont perdu. C’était prévisible, car traditionnellement la prospérité de la communauté juive augmente en proportion inverse de l’intérêt des gens ordinaires. La Bible nous fournit un schéma archétypique, avec l’histoire de Joseph et ses frères qui prospéraient en mettant en esclavage les Egyptiens pour le compte du Pharaon. [...] Ce n’est pas par hasard si les quartiers juifs étaient tout près des palais royaux partout en Europe. » (p. 257-258)
« Sous les Juifs Hollywood a rendu le cinéma américain encore plus violent, moralisant, répugnant et philistin. » (p. 258)
« L’introduction de la fureur, de la haine et de l’esprit de vengeance dans l’argumentation de l’adversaire est une arme idéologique puissante dans la tradition juive. » (p. 260)
« L’idée judéo-américaine émasculera le monde si on ne la retient pas. » (p. 264)
« L’idée judéo-américaine est fermement reliée à la vie biologique, mais rejette l’esprit. Ce n’est pas pour rien que nulle grande œuvre d’art, nulle grande idée n’apparaît sous son règne. » (p. 264)
« Selon les Juifs, il y a deux sortes de réussite. D’une part le succès à l’intérieur de la communauté qui passe par l’étude du Talmud. D’autre part, le succès dans le vaste monde des Juifs et des Gentils. Celui-ci se mesure à l’accumulation de l’argent et du pouvoir. [...] Il y avait bien des Gentils qui partageaient leur point de vue, mais qu’il s’agisse de Richard III ou d’Harpagon, ils étaient plutôt considérés comme des monstres que comme des modèles de réussite. » (p. 265-266)
Shamir admet que les Protocoles des Sages de Sion ne sont pas un document « authentique », mais martèle qu’il s’agit d’un document véridique :
« La concentration du capital dans les mains des financiers, la concentration des médias dans les mains de quelques magnats, l’assassinat extrajudiciaire des leaders qui ne se soumettent pas, les marchés financiers, avec leurs multiples produits dérivés qui ponctionnent la richesse et l’accumulent entre les mains des prêtres de Mammon; le profit (“les forces du marché”), seule mesure de succès de toute stratégieŠ Non l’intérêt des Protocoles n’a pas disparu, car le plan qui y est décrit, consistant à instaurer un régime oligarchique (non nécessairement juif), est en train d’être mis en vigueur, en temps réel; cela s’appelle le nouvel ordre mondial. » (p. 275)
« Apparemment, certaines idées des Protocoles ne seraient pas étrangères à certains Juifs. » (p. 279)
« En fait, si les Protocoles n’avaient aucun lien avec la réalité, ils n’auraient pas la popularité qui est la leur. Les Juifs sont suffisamment puissants pour rêver de domination, et certains le font. Apparemment, certaines idées juives ont trouvé place dans ce texte. » (p. 280)
« En résumé, une grande partie (pas la totalité, toutefois) des projets prêtés au Juifs par les Protocoles sont en effet les idées utiles ou nécessaires pour le bien-être communautaire des Juifs [...]. Il ne faut pas aller chercher plus loin le succès jamais démenti des Protocoles. » (p. 284)
« ceux qui ont rejeté le Christ ont été condamné à errer jusqu’à ce qu’ils comprennent leur erreur. » (p. 56)
Néanmoins, il n’est plus poursuivi à titre d’auteur ; et il est autorisé à continuer à vendre le livre incriminé ; dans celui-ci, seuls 6 passages ont été estimés contraires à la loi, au lieu de la vingtaine qui avaient été reconnus tels dans le jugement en première instance.
Le président du tribunal, visiblement conscient de l'absurdité de la situation, a lui-même suggéré à M Cherifi de se pourvoir en cassation. On a presque eu droit à des excuses…
Israël Adam Shamir vient de sortir un nouveau livre en français : "Notre Dame des Douleurs" (458 p. + Index des noms propres), qu'on peut commander à l'association Entre la Plume et l'Enclume, pour 20 euros (+ 5 euros frais de port).
Demain nous aurons la liste des 6 choses qu’on n’a pas encore le droit de dire, dans l’ex-pays de la liberté d’expression, de l’égalité et de la laïcité.
Pour le moment, on a le droit de dire tout le reste, comme par exemple qu’Israël est un État terroriste qui doit être traduit en justice pour sa récente invasion génocidaire du Liban et sa politique systématique de nettoyage ethnique avec extermination des Palestiniens ; c’est ce que nous disons, et nous ajoutons que les groupuscules qui exercent des pressions en France pour défendre la politique israélienne sont des groupuscules terroristes au service d’un État terroriste étranger. Et on va le marteler...
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http://www.voxnr.com/cc/dep_interieur/EEVZ
lpVppFJTuHBMrB.shtml
Quelques extraits du livre "L’autre visage d’Israël", utilisés dans un article qui le traite Israel Adam Shamir d'antisémite dans le texte... :
« la presse américaine, dominée par les Juifs » (p. 53)
« il semble que les Juifs (en tant que groupe distinct des non-juifs) soient unis par une volonté commune, un objectif unique et un sentiment de puissance. L’intoxication par le pouvoir et l’unité a amené ces gens cauteleux à laisser tomber le masque, à renoncer aux faux-semblants. La nouvelle ouverture nous fournit un aperçu sans précédent de l’âme des Juifs et de leurs supporters mammonites. » (p. 245)
« Aussi, après bien des années de sélection continue, les forces pro-juives ont atteint les positions de la toute puissance aux États-Unis. Par ailleurs, l’Amérique était presque vouée à devenir un État néo-juif en vertu de son idéologie. » (p. 250)
« L’autre groupe d’alliés [parmi les philosémites] est constitué par les hommes d’affaires purs et durs qui apprécient le côté pratique de l’idéologie juive. Ils aiment l’idée du Mob, la chasse à l’argent, l’indifférence à la morale et aux conséquences sociales que cela peut avoir, l’indifférence à la propriété et à la vie d’autrui. Les gens qui voient tous les autres comme des ennemis, et la vie comme une bataille perpétuelle, remarquent que dans l’idéologie juive, aucun étranger n’est considéré comme un “voisin”. Voilà pourquoi les dirigeants qui étaient les plus cruels, les princes et les rois, étaient ceux qui prenaient des juifs comme conseillers et ministres. Ils apprenaient d’eux comment ignorer leurs sujets. » (p. 252)
« Les Juifs ne sont ni un peuple, ni une religion, ni une race. Il s’agit d’une organisation quasi religieuse; quelque chose qui ressemble à une Église catholique qui serait intimement liée au Fonds Monétaire International, de même que le courrier électronique est associé au téléchargement de fichier sous Windows. On peut rencontrer toutes sortes de catholiques, mais les décisions sont prises à Rome. On peut rencontrer toutes sortes de juifs, mais les décisions sont prises à Wall Street. » (p. 252)
« Jésus sauve, mais Moïse investit. L’influence juive ne s’arrête pas là où le dollar s’arrête. Les idéaux des Américains sont façonnés par Hollywood, avec son culte du lucre et du succès. Leurs réflexions sont alimentées par les éminences juives dans les universités et les médias. Pour leur confort, ils “boivent” le New York Times* comme du petit lait. Leur histoire a rétréci et s’est réduite aux études sur l’Holocauste. [...] Il importe peu aux Américains que leur politique soit aux mains de gens qui n’ont de dévotion que pour la cause des Juifs. » (p. 254)
*Le New York Times est qualifié de « journal juif » (p. 70)
« Je me sens très bien avec moi-même, et avec la plupart des juifs que je rencontre. Séparément, nous sommes sympathiques et chaleureux. Enfin, aussi sympathiques que n’importe qui. Mais ensemble, nous constituons une machinerie sociale redoutable et repoussante, liée par un pacte infernal à la rapacité et à la cupidité. J’aime les “Juifs” tout autant que le grand américain David Thoreau aimait l’Empire américain, que Voltaire aimait son Église catholique, qu’Orwell aimait son Parti stalinien. » (p. 254-255)
« L’emprise judéo-mammonite a éliminé les forces vives de l’Amérique et les a guidées vers le dépérissement. » (p. 256)
« L’influence grandissante des Juifs s’est accompagnée de la divergence : les riches sont devenus plus riches, les pauvres plus pauvres, et les classes moyennes ont perdu. C’était prévisible, car traditionnellement la prospérité de la communauté juive augmente en proportion inverse de l’intérêt des gens ordinaires. La Bible nous fournit un schéma archétypique, avec l’histoire de Joseph et ses frères qui prospéraient en mettant en esclavage les Egyptiens pour le compte du Pharaon. [...] Ce n’est pas par hasard si les quartiers juifs étaient tout près des palais royaux partout en Europe. » (p. 257-258)
« Sous les Juifs Hollywood a rendu le cinéma américain encore plus violent, moralisant, répugnant et philistin. » (p. 258)
« L’introduction de la fureur, de la haine et de l’esprit de vengeance dans l’argumentation de l’adversaire est une arme idéologique puissante dans la tradition juive. » (p. 260)
« L’idée judéo-américaine émasculera le monde si on ne la retient pas. » (p. 264)
« L’idée judéo-américaine est fermement reliée à la vie biologique, mais rejette l’esprit. Ce n’est pas pour rien que nulle grande œuvre d’art, nulle grande idée n’apparaît sous son règne. » (p. 264)
« Selon les Juifs, il y a deux sortes de réussite. D’une part le succès à l’intérieur de la communauté qui passe par l’étude du Talmud. D’autre part, le succès dans le vaste monde des Juifs et des Gentils. Celui-ci se mesure à l’accumulation de l’argent et du pouvoir. [...] Il y avait bien des Gentils qui partageaient leur point de vue, mais qu’il s’agisse de Richard III ou d’Harpagon, ils étaient plutôt considérés comme des monstres que comme des modèles de réussite. » (p. 265-266)
Shamir admet que les Protocoles des Sages de Sion ne sont pas un document « authentique », mais martèle qu’il s’agit d’un document véridique :
« La concentration du capital dans les mains des financiers, la concentration des médias dans les mains de quelques magnats, l’assassinat extrajudiciaire des leaders qui ne se soumettent pas, les marchés financiers, avec leurs multiples produits dérivés qui ponctionnent la richesse et l’accumulent entre les mains des prêtres de Mammon; le profit (“les forces du marché”), seule mesure de succès de toute stratégieŠ Non l’intérêt des Protocoles n’a pas disparu, car le plan qui y est décrit, consistant à instaurer un régime oligarchique (non nécessairement juif), est en train d’être mis en vigueur, en temps réel; cela s’appelle le nouvel ordre mondial. » (p. 275)
« Apparemment, certaines idées des Protocoles ne seraient pas étrangères à certains Juifs. » (p. 279)
« En fait, si les Protocoles n’avaient aucun lien avec la réalité, ils n’auraient pas la popularité qui est la leur. Les Juifs sont suffisamment puissants pour rêver de domination, et certains le font. Apparemment, certaines idées juives ont trouvé place dans ce texte. » (p. 280)
« En résumé, une grande partie (pas la totalité, toutefois) des projets prêtés au Juifs par les Protocoles sont en effet les idées utiles ou nécessaires pour le bien-être communautaire des Juifs [...]. Il ne faut pas aller chercher plus loin le succès jamais démenti des Protocoles. » (p. 284)
« ceux qui ont rejeté le Christ ont été condamné à errer jusqu’à ce qu’ils comprennent leur erreur. » (p. 56)
Si on remplace le mot juif par le mot musulman je crois que Monsieur Israël Adam Shamir sera félicité et son livre sera considéré comme l'œuvre de l'année même si son attaque est dix fois plus fort...
Oui c'est la loi qui tranche... Quelle loi !!!
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