dimanche, novembre 25, 2007

Jamel Debbouze, homme politique...

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Media et ... BLA BLA BLA

France 2. Alerte au suicide collectif au japon : 147 collégiens japonais se sont donnés la mort à cause du retard d'un jeu video... Vraiment ? Une idée de la qualité de l'information relayée par les médias.


Pour la traduction erronée... j'ai remarqué ça sur tous les caneaux Français en particulier quand ils traduisent de l'arabe...

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Media... politique et ZALEA TV

Petit hommage à une disparue sans avoir réellement vraiment vécu comme elle l'entendait : ZELEA TV


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mardi, novembre 20, 2007

IRAK : Ce que Bush veut cacher



NO COMMENT.

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jeudi, novembre 15, 2007

Sarkozy et les musulmans

L’histoire se raconte dans les chancelleries européennes. Nicolas Sarkozy, recevant le Premier ministre irlandais, Bertie Ahern, le 21 septembre, puis suédois, Fredrik Reinfeldt, le 3 octobre, se serait livré à une véritable diatribe anti-musulmane devant ses invités. Selon mes sources, le chef de l’Etat s’est lancé dans une diatribe confuse d’une vingtaine de minutes, « dans un langage très dur, très familier, choquant pour tout dire », contre le « trop grand nombre de musulmans présents en Europe » et leurs difficultés d’intégration. Il a aussi décrit de façon apocalyptique le « choc de civilisation » qui oppose les musulmans à l’occident. Le tout, manifestement, pour justifier son opposition à l’adhésion de la Turquie à l’Union. Mais ses interlocuteurs, qui n’en sont toujours pas revenus, ne sont même pas sûrs de l’avoir bien compris, tant le discours était décousu et surtout hors de propos avec l'objet de ces rencontres, la préparation du Sommet de Lisbonne des 18 et 19 octobre. Ils en ont, en tout cas, retiré la désagréable sensation que Sarkozy, non seulement avait un sérieux problème avec les musulmans, mais avait du mal à maîtriser ses nerfs.

Cette idée du "choc des civilisations" a déjà été développée, de façon plus policée, par le chef de l'Etat, dans une indifférence assez étonnante, le 27 août dernier, dans son discours aux ambassadeurs. Il avait alors expliqué que le "premier défi, sans doute l'un des plus importants" auquel doit faire face la France est : "comment prévenir une confrontation entre l'Islam et l'Occident? Ce n'est pas la peine d'employer la langue de bois : cette confrontation est voulue par les groupes extrémistes tels qu'Al Qaeda qui rêvent d'instaurer, de l'Indonésie au Nigéria, un khalifat rejetant toute ouverture, toute modernité, toute idée même de diversité. Si ces forces devaient atteindre leur sinistre objectif, nul doute que le XXIe siècle serait pire encore que le précédent, pourtant marqué par un affrontement sans merci entre les idéologies". Pour Sarkozy, "nous aurions tort de sous estimer la possibilité" "d'une confrontation, entre l'Islam et l'Occident": "l'affaire des caricatures en a été un signe avant-coureur". Dès lors, la surprise de Bertie Ahern et de Fredrik Reinfeldt s'explique: ils n'avaient sans doute pas lu ces quelques lignes.

Links
http://bruxelles.blogs.liberation.fr/coulisses/2007/11/sarkozy-et-les-.html

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mercredi, novembre 14, 2007

Que s’est-il passé à Gaza ?

par Alain Gresh

Que s’est-il passé à Gaza lors de l’anniversaire de la mort de Yasser Arafat ? A écouter la radio le 14 novembre, à lire la presse, la cause est entendue : les « méchants » islamistes ont tiré sur les « gentils » manifestants du Fatah qui défilaient pacifiquement.

Sakher Abou El-Oun écrit dans une dépêche de l’AFP du 12 novembre :
« Les heurts ont éclaté alors que des centaines de milliers de Palestiniens se dispersaient à la fin du rassemblement organisé par le Fatah, le parti du président Mahmoud Abbas, pour commémorer la mort il y a trois ans du chef historique des Palestiniens. Des miliciens en civil ou en uniforme du Hamas, qui a pris le pouvoir par la force en juin à Gaza, ont ouvert le feu sur les manifestants, dont certains scandaient des slogans contre le mouvement islamiste et lançaient des pierres sur sa police, selon des témoins. »

« "Assassins, chiites", criaient les manifestants, en allusion au soutien apporté par l’Iran chiite au Hamas. Six Palestiniens ont été tués par les tirs et 130 autres blessés, dont des femmes et des enfants, ont indiqué des sources médicales. Un septième, âgé de 65 ans, qui participait à la manifestation est décédé à l’hôpital. Des images de télévision ont montré des hommes armés du Hamas ouvrir le feu sur des manifestants qui fuyaient ou d’autres rouant un jeune homme de coups de matraque. »

On peut souligner que Le Figaro, Le Monde et Libération reprennent en titre cette information rendant le Hamas responsable. Pourtant, à lire les articles, on mesure que la réalité est bien plus complexe que celle que mettent en scène les titres. Ainsi, Libération du 14 novembre publie un article de Delphine Matthieussent, titré « Le Hamas tire sur la foule ». Mais si on prend le soin de lire l’article, il y est écrit : « Des policiers et des hommes armés du Hamas ont ouvert le feu sur les manifestants, selon les responsables du Fatah, le parti du président Mahmoud Abbas. Le Hamas affirme quant à lui que ses membres ont été pris à parti par des hommes armés du Fatah et ont répliqué. » (notons que, dans la presse, les titres des articles ne sont pas faits par les journalistes qui écrivent les articles).

Le Monde daté du 14 novembre titre en première page, « Le Hamas fait tirer sur un meeting à la mémoire d’Arafat ». Pourtant, l’article du correspondant à Jérusalem du quotidien du soir, Michel Bôle-Richard, lui aussi titré « A Gaza, le Hamas tire sur le Fatah qui célébrait de Yasser Arafat », est beaucoup plus prudent :

« Les heurts se sont produits à la fin du rassemblement sans que l’on en sache véritablement l’origine. Des groupes de manifestants auraient commencé à lancer des pierres sur les forces de l’ordre qui n’ont pas hésité à répliquer à balles réelles, poursuivant même les protestataires dans les rues, en lâchant des rafales de kalachnikov. Le Hamas a mis en cause des francs-tireurs du Fatah qui se seraient postés sur les toits pour tirer sur les membres de la Force exécutive. Sami Abou Zhouri. »

Une intéressante analyse en anglais, datée du 12 novembre et signée Tony Sayegh, « The Yellow "Revolution of Mahmoud Abbas and Mohammad Dahlan » donne un autre son de cloche. L’auteur explique que l’Autorité palestinienne avait envoyé 45 000 drapeaux jaune à Gaza pour préparer la manifestation (les drapeaux jaunes sont ceux de cette organisation). Ils étaient chargés dans des camions censés apporter de la nourriture à la population affamée, mais, à l’inspection, il s’avéra qu’ils transportaient ce matériel de propagande. Le Hamas ne s’opposa pas à l’arrivée de cette nourriture très particulière. Tony Sayegh explique, par ailleurs, que le Fatah n’avait pas organisé une telle manifestation à l’occasion du premier ou du deuxième anniversaire de la mort d’Arafat ; il souligne aussi que cette manifestation a été bien plus importante que celles que le Fatah a organisé en Cisjordanie.

Il poursuit en expliquant que le Hamas a autorisé la manifestation à Gaza alors que le Fatah a réprimé toutes les tentatives du Hamas de manifester en Cisjordanie. Le correspondant de l’AFP affirme que la manifestation s’est déroulée pacifiquement, mais que, à la fin, ce sont les responsables du Fatah qui ont ouvert le feu les premiers.

Notons que les titres et les comptes-rendus de la presse anglo-saxonne sont bien plus prudents que ceux de la presse française. Le quotidien britannique The Guardian titre le 14 novembre : « Six die in clashes as Fatah emerges onto streets of Gaza ». The Independent titre lui « Five killed during Arafat rally »

Pour ceux qui sont intéressés au point de vue du Hamas, lire « Hamas holds Fatah leadership fully responsible for Gaza events »

Que l’on se comprenne bien. Le Fatah, comme le Hamas portent une lourde responsabilité dans la détérioration de la situation des Palestiniens. Les deux organisations ont été accusées par les organisations palestiniennes de défense des droits de l’homme de graves violations du droit humanitaire. Les deux organisations portent une lourde responsabilité dans l’affaiblissement des capacités de résistance des Palestiniens.

Et pendant ce temps, le blocus de Gaza se poursuit dans l’indifférence générale. Et personne n’a repris la dépêche de l’AFP du 12 novembre :

Israël va restreindre la fourniture d’électricité à la bande de Gaza (Barak) :

« Israël va procéder à des coupures d’électricité dans la bande de Gaza en riposte à la poursuite des tirs de roquettes en dépit de l’opposition du conseiller juridique du gouvernement, a affirmé dimanche le ministre de la Défense, Ehud Barak. "La fourniture d’électricité à la bande de Gaza va être réduite", a affirmé M. Barak en Conseil des ministres, cité par un haut responsable. "Les coupures d’électricité vont être appliquées prochainement et seront incluses dans la série de mesures prises à l’encontre du (mouvement islamiste) Hamas" qui contrôle la bande de Gaza après son coup de force à la mi-juin, a ajouté M. Barak. »

liens :
http://blog.mondediplo.net/2007-11-14-Que-s-est-il-passe-a-Gaza

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lundi, novembre 12, 2007

Un petit tour et puis s'en va...


Et hop, Kouchner débarque à Beyrouth ce soir pour une énième visite en quelques mois. Pour reprendre l’image d’un éditorialiste d’al-Hayat, « quand le docteur [c ‘est le cas de le dire] est tellement assidu au chevet d’un malade, c’est que ce patient est dans un état grave. » Qui saurait le nier aujourd’hui ?

J’avais envie de titrer ce post « Bruits de bottes », mais devant le ballet diplomatique déployé au et autour du Liban, celui-ci m’a paru plus approprié.

Ce qui n’enlève rien au vacarme belliqueux qui retentit de plus en plus fort chez nous. Certains espèrent que nous sommes en présence de joueurs de poker, qui feront monter les enchères à coups de bluff retentissants jusqu’à l’ultime instant où ils abattront leurs cartes. Est-ce ce que signifie le discours enflammé de Hassan Nasrallah d’hier ? Ou les envolées absolutistes de Walid Joumblatt les jours précédents ?

Toujours est-il que le ton monte de part et d’autre et que sur le terrain, les tensions s’exacerbent entre partisans des deux camps. Les interventions plus ou moins bien intentionnées, plus ou moins bienvenues d’un Sarkozy qui a fait de la crise libanaise une occasion de renouer les liens entre la France et les Etats-Unis, d’un Bush qui, en fin de mandat, compte bien afficher au moins une « réussite » à son palmarès moyen-oriental, d’un Poutine qui soutient la Syrie quand ça l’arrange puis fait pression sur elle quand ça ne l’arrange plus, d’un Ahmadinejad qui a décidé que le Liban serait le fer de lance de son combat contre le Grand Satan, d’un Assad (et sa clique) qui est plus que jamais décidé à faire traîner les choses dans l’espoir que le vent tourne et remette son régime au cœur de la scène politique régionale, d’un Erdogan tiraillé entre son alliance avec Israël qui l’a mis dans un drôle de pétrin en survolant son territoire pour effectuer un mystérieux raid en Syrie, et sa voisine la Syrie justement, et c’est toujours mieux de bien s’entendre avec ses voisins, d’un Olmert qui n’a pas digéré le camouflet militaro-politique de l’été dernier et qui doit faire avec une population inquiète de l’ostentatoire remilitarisation du Hezbollah, d’un roi Abdallah décidé à prouver à Bachar qu’il n’est pas un "sous-homme" – la preuve, il a rencontré le pape Benoît XVI – et d’un Benoît XVI, justement, qui « s’inquiète » pour la communauté chrétienne du Liban… Même les Chypriotes se sont mis de la partie.

Hafez el-Assad doit se retourner dans sa tombe lui qui, depuis 1975, avait toujours tout fait pour empêcher l’internationalisation de la question libanaise. C’est raté.

Tout ce petit monde s’active autour d’un pays – le nôtre – pour tenter de dissuader son peuple – nous – de se suicider. C’est quand même un comble !

Toujours est-il que nous nous retrouvons avec tout un tas des ballerines diplomatiques dont le pas souvent disgracieux, rarement léger, ne risque pas de mettre les bruits de bottes en sourdine. Parce qu’au Liban, certains considèrent que les bruits de bottes, c’est festif.

Hier, en ce beau dimanche pluvieux et gris, alors que je travaillais péniblement sur un article complètement déconnecté des questions du moment (la pub, que du bonheur…), des pétarades m’ont fait sursauter pour la même raison que la veille, je m’étais précipitée au balcon en entendant des hurlements dans la rue : la crainte que l’étincelle qui allait mettre le feu aux poudres se soit produite et que les Libanais aient décidé d’en venir aux mains (enfin, façon de parler, parce que mes chers compatriotes se serviraient sans doute d’outils plus… définitifs que leurs poings). Mais non. Dans le dernier cas, il s’agissait d’une dispute de quartier particulièrement violente. Dans le premier, il s’agissait de tirs de joie des partisans du Hezbollah, suite au virulent discours de leur sayyed. Mais cela en dit long sur l’état d’anxiété permanente dans lequel nous vivons (et dire que je me plaignais des coupures d’électricité…).

Nous vivons actuellement sur une bombe à retardement. Certains jettent de l’huile sur le feu, partant du principe que la meilleure des défenses, c’est l’attaque ; d’autres s’arment parce qu’ils estiment qu’il vaut mieux prévenir que guérir et qu’ils doivent pouvoir se protéger ; d’autres encore fichent le camp, leur faculté d’espérer ayant été usée jusqu’à la corde; les derniers s’accrochent parce qu’ils n’ont pas le choix, parce que le constat d’échec serait trop terrible. Ou parce qu’ ils estiment que de toute façon, le Liban en a vu d’autres, et eux avec.

Personnellement, je crois que jamais le Liban tel que nous le connaissons n’a été autant en danger. Qu’importe les camps, les médiations, les interférences étrangères.

La responsabilité de ce qui arrivera incombera en premier lieu aux Libanais qui n’auront pas su faire passer leur pays et sa paix avant leur culte idolâtre d’un quelconque leader et avant les rancunes et incompréhensions que, certes, on ne leur a pas laissé le loisir de régler au cours des 15 années d’occupation syrienne, mais qu’eux-mêmes n’auront bien souvent pas appris à dépasser tout seuls.

Je reste convaincue qu’il se trouve au Liban une majorité silencieuse qui rejette ces bruits de bottes. Mais bon sang, il est des cas où décidément, le silence n’est pas d’or.

liens :

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vendredi, novembre 09, 2007

Terrorisme : la preuve bidon de la presse allemande

La presse allemande publie une note griffonnée en arabe et raturée qui a été retrouvée à côté de l’une des deux bombes trouvées en juillet dans un train allemand. Elle souligne que, selon la police, cette bombe était destinée à tuer des centaines de personnes. Il va sans dire que ce bout de papier suffit à conclure que le projet d’attentat était le fait « des musulmans ».

Cependant, les journalistes allemands sont autant aveuglés par leurs préjugés que leurs collègues occidentaux. Ils n’ont pas pensé utile de se faire traduire la dite note. Ils auraient découverts qu’il ne s’agit pas d’une revendication politique déposée intentionnellement, mais d’une liste de courses (olives, fromage blanc…) abandonnée par un voyageur après avoir biffé les produits achetés.

Sources :
http://www.voltairenet.org/article151496.html

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HOMMAGE : Lettre imaginaire de Mohammad Al-Dourra

La lecture de la lettre du jeune résistant Guy Môquet dans les écoles en France a fait des émules. L’Autorité Palestinienne a décidé de lire (pure fiction) la lettre « imaginaire » du feu Mohammad al-Dourra dans toutes les écoles de la Palestine occupée.

En voici le texte :

Ma maman, ma très chère maman,

C’est moi, Mohammad. C’est vrai, je te jure. J’ai beaucoup hésité avant de t’écrire. J’avais peur que tu ne me croies pas. J’avais peur que les gens se moquent de toi si tu leur lis mon message. Mais je voyais comment tu étais depuis le jour où je n’étais pas retourné avec papa. On t’avait alors dit que je n’étais plus et tu t’es écroulée… Et depuis tu ne cessais de penser au petit Mohammad et de pleurer. Alors j’ai décidé de t’écrire.

Ma maman bien-aimée, c’est peut-être difficile à croire mais je ne suis pas mort. Je suis heureux et même très heureux.

Ces « êtres » (je ne sais comment les qualifier car ils ne sont plus des humains) qui m’ont lâchement tiré dessus, pensaient envoyer un message à tous les enfants de la Palestine et même à toute l’humanité. Ils voulaient tuer l’espoir. Ils voulaient nous dire qu’ils étaient les soldats de l’ogre tout puissant qui pouvait nous dévorer quand il voulait. Ils voulaient nous dire que sur cette terre des Messagers et des Martyrs, ils pouvaient détruire nos maisons, fermer nos écoles et arracher nos arbres, qu’ils avaient droit de vie et droit de mort sur toute âme vivante. Ils voulaient nous dire que nous devions nous prosterner devant cet ogre, et il saura alors nous contenter de quelques miettes et de quelques os.

Mais ils se trompent et je les plains car ils sont aveugles. En me tuant ils m’ont propulsé à un degré dont je ne rêvais pas. Je t’assure. Je suis bien vivant et très bien entouré. On m’a dit que j’étais avec les Martyrs ; des personnes braves et sincères qui aimaient Dieu, aimaient la vie et aimaient l’humanité, et qui voulaient la servir et qu’elle soit libre, mais qui se sont fait tuer par l’ogre et ses soldats.

Je n’arrive pas à les compter. Il y a beaucoup de monde, énormément de monde, des hommes, des femmes et des enfants. Ils sont comme frères et sœurs et ils s’aiment beaucoup entre eux. Ils sont tous beaux, chaleureux, souriants, et aimables. Je n’ai jamais senti un tel amour.

Dès le premier jour j’ai été tout de suite accueilli par des personnes dont, pour quelques unes, j’avais déjà entendu les noms en Palestine. Il y a ce vieux Monsieur très aimable qu’on appelle le cheikh Ahmad Yassine. Je me souviens avoir vu son image sur un fauteuil roulant, mais ici, il marche ! Je te jure maman, il marche sur ses deux pieds. Il y a aussi bien d’autres personnes dont je n’ai pas retenu les noms et qui sont venues m’embrasser très chaleureusement.

On m’a aussi présenté des hommes et des femmes d’autres pays lointains, tous aussi beaux et chaleureux. Ils viennent de tous les continents et de toutes les origines. Eux aussi, ils ont combattu pour la liberté et ils refusaient l’injustice. Et c’est pour cela qu’ils ont été tués par les soldats de l’ogre, car ses soldats viennent aussi de tous les pays et de toutes les origines. Et toutes ces personnes tuées lâchement, elles ne sont pas mortes, elles sont bien là autour de moi, rayonnant comme des étoiles brillantes dans un beau ciel. Je n’ai pas retenu tous les noms car la liste est très longue, ma chère maman, mais le jour viendra où tu feras leur connaissance.

Maman, ne pleure pas et lève ta tête. J’aurai bien aimé rester avec toi un petit peu plus, mais ici je ne suis pas malheureux. Je suis seulement triste de voir que l’ogre et ses soldats continuent à semer le désordre et à tuer impunément.

Mais cela ne pourra durer, et cela tu dois le dire à tous les enfants, ma très chère maman. Il faut leur dire que l’espoir de vivre libre et la tête haute ne pourra jamais être vaincu. Car cet espoir est une flamme divine que le Bon Dieu a allumée dans les cœurs de tous les enfants. Et l’ogre ne pourra jamais l’éteindre et finira par s’y faire brûler. Tous les enfants connaissent cette vérité, alors il ne faut pas avoir peur de résister.

Maman, je suis là. Je t’aime de tout mon cœur et je t’attends. Ne baisse pas les bras et continue ton combat pour les autres enfants et pour la Palestine. L ’ogre est déjà condamné. Il le sait et il ne fait que paniquer.

Ton fils qui t’embrasse très fort.


Source :
Email envoyé par Mr. Iyad Abbara

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mardi, novembre 06, 2007

Maroc pédophilie prostitution !!!

Après le tsunami en Thaïlande le Maroc est l'une des destinations préférées du touriste sexuel il est le pays arabo-musulman ou la prostitution c'est le plus banalisé.

Part1


Part2

A lire :
Enquête. Pornographie et abus de confiance

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Arche de Zoé-Revu et corrigé-3-11-07



Délinquance-L'affaire Arche de Zoé, avec Sopo et Brauman (F5 Revu et corrigé 3-11-07)

La séquence complète du duel entre le président de SOS Racisme, Dominique Sopo, et Rony Brauman, l'ex-président de Médecins sans frontières, au sujet des activités de L'Arche de Zoé.

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JT20H - TF1 - Banalisation Du Racisme



Dans le JT du 3/11/2007, le commentaire du journaliste reprend le discours de l'extrème droite en parlant du laxisme passé des autorités politiques qui expliquerait aujourd'hui une forme de xénophopbie montante en Italie, après avoir parlé de ces gens du voyages "qui se sont répandus dans toute l'Europe"...

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Racisme INCONSCIENT

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23 août 1927 : Affaire Sacco et Vanzetti

L’affaire Sacco et Vanzetti est le nom d’un scandale judiciaire survenu dans les années 1920 aux États-Unis, et dont les victimes furent les anarchistes d’origine italienne Nicola Sacco et Bartolomeo Vanzetti.

Contexte

Comme en Europe, les années 1919-1920 sont difficiles aux États-Unis : il faut reconvertir l’économie de guerre et faire face à l’inflation. La fin du dirigisme étatique mis en place en 1917 et la montée du syndicalisme provoquent de nombreuses grèves dans tout le pays. En 1919, on recense 4,1 millions de grévistes qui réclament de meilleurs salaires et une réduction du temps de travail. Les grèves dégénèrent en violence et donnent lieu à des affrontements dans plusieurs grandes villes, comme à Boston.

L’année 1920 est marquée par de nombreux attentats anarchistes : les responsables politiques sont touchés, comme le maire de Seattle ou celui de Cleveland, chez lequel une bombe explose. Les bureaux de la banque Morgan à Wall Street sont soufflés par un attentat qui fait 38 morts et 200 blessés[1]. Les autorités prennent des mesures de répression contre les anarchistes mais aussi contre les communistes et les socialistes américains. Certains sont emprisonnés, d’autres contraints de s’exiler. L’opinion publique amalgame les grêvistes, les étrangers et « les Rouges ». Elle craint les progrès du bolchévisme en Europe, le terrorisme de gauche et se méfie des immigrés récents qui parlent à peine l’anglais.

Début de l’affaire

Le 5 mai 1920, Sacco et Vanzetti sont arrêtés ; ils sont soupçonnés d’avoir commis deux braquages (le 24 décembre 1919 à Bridgewater et le 15 avril 1920 à South Braintree où deux convoyeurs sont tués).

Condamnation

Le 16 août 1920, Vanzetti seul est condamné pour le premier braquage à 15 ans de prison. Le second procès qui se clôt le 14 juillet 1921 les condamne tous les deux à la peine capitale pour les crimes de South Braintree, dans la banlieue de Boston, malgré le manque de preuves formelles. Des comités de défense se mettent en place dans le monde entier pour sensibiliser l’opinion sur cette injustice : le dictateur italien Mussolini prend même leur défense[2]. Comme Sacco en 1923, Vanzetti est placé début 1925 en hôpital psychiatrique.

Le 12 mai 1926, leur condamnation à mort est confirmée. Le 26 mai, un bandit dénommé Madeiros avoue de sa prison être l’auteur du braquage de South Braintree, mais le juge Thayer, qui n’aimait ni les Italiens, ni les anarchistes[3], refuse de rouvrir le dossier. Malgré une mobilisation internationale intense et le report à plusieurs reprises de l’exécution, Nicola Sacco, Bartolomeo Vanzetti et Celestino Madeiros passent sur la chaise électrique dans la nuit du 22 au 23 août 1927, suscitant une immense réprobation.

Le 23 août 1977, exactement 50 ans après, le gouverneur du Massachusetts Michael Dukakis absout les deux hommes, et déclare que « tous les déshonneurs devaient être enlevés de leurs noms pour toujours »[réf. nécessaire].

Culture populaire

La chanson Here’s to you de Joan Baez leur est dédiée. Elle reprend les mots de Vanzetti au juge Thayer (cf ci-dessous) : "Heres to you Nicola and Bart/ Rest forever here in our hearts/ The last and final moment is yours/ That agony is your triumph". Le film Sacco et Vanzetti réalisé par Giuliano Montaldo retrace leur histoire.

Citation

Vanzetti, condamné avec Sacco à l’électrocution, répond le 9 avril 1927 au juge Thayer : « Si cette chose n’était pas arrivée, j’aurais passé toute ma vie à parler au coin des rues à des hommes méprisants. J’aurais pu mourir inconnu, ignoré : un raté. Ceci est notre carrière et notre triomphe. Jamais, dans toute notre vie, nous n’aurions pu espérer faire pour la tolérance, pour la justice, pour la compréhension mutuelle des hommes, ce que nous faisons aujourd’hui par hasard. Nos paroles, nos vies, nos souffrances ne sont rien. Mais qu’on nous prenne nos vies, vies d’un bon cordonnier et d’un pauvre vendeur de poisson, c’est cela qui est tout ! Ce dernier moment est le nôtre. Cette agonie est notre triomphe. »

Notes

1. A. Kaspi, Les États-Unis au temps de la prospérité, 1919-1939, 1994, p.40

2. A. Kaspi, Les États-Unis au temps de la prospérité, 1919-1939, 1994, p.46

3. A. Kaspi, Les États-Unis au temps de la prospérité, 1919-1939, 1994, p.46

Sources :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Sacco_et_Vanzetti

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Dans ce court document apparaissent Sacco & Vanzetti exécutés sur la chaise électriques aux USA parce qu’ils étaient anarchistes !


Les dix dernières minutes du film Sacco et Vanzetti


Links :
http://bellaciao.org/fr/article.php3?id_article=51819

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